Les pièges des banques pour les jeunes
S’il est aujourd’hui aisé pour les jeunes d’ouvrir un compte bancaire, le revers de la médaille en est souvent les grandes difficultés financières dues aux offres de plus en plus alléchantes.
Les différentes offres
À partir de 12 ans
Les premières offres bancaires concernant les jeunes cibles des banquiers démarrent à l’âge de 12 ans. A cet âge, il est déjà possible d’ouvrir un compte jeune avec une carte de retrait et un livret A ou un livret Jeune. Entre 12 et 16 ans, il n’y a pas de risque réel pour votre enfant étant donné qu’il faudra la présence des parents pour effectuer un retrait sur son livret.
De 16 ans à la majorité
A partir de 16 ans, il est possible, avant même d’atteindre la majorité, d’avoir en plus, un compte courant sans chéquier et une carte de retrait et de paiement dont le montant maximum par semaine diffère selon l’organisme bancaire.
À partir de 18 ans
C’est souvent là que les choses se corsent. La majorité atteinte, nos jeunes se trouvent sollicités de toutes part par des “conseillers” ayant un maximum de produits financiers à écouler : Compte courant avec autorisation de découvert, carte bancaire avec débit différé, chéquier, prêt étudiant, etc. Le monde de la banque leur promet monts et merveilles et pour notre jeunesse qui a la vie devant elle, tout semble possible et sans risque…
La réalité des banques pour jeunes
Puis, arrivent les agios, les frais de rejet de chèques, les difficultés de remboursement de crédit, les relances des débiteurs et du banquier, les fins de mois à manger des pâtes, etc.
L’argent a filé entre leurs jeunes doigts et ils ne savent plus comment faire face à cette situation. S’ils ont la chance d’avoir des parents qui en ont les moyens, ces derniers épongeront leurs dettes, sinon ils démarreront leur vie d’adulte avec un handicap financier…
Ce scénario catastrophique est beaucoup plus courant qu’on ne pense. Entre fin 2011 et fin 2016, 1 318 772 dossiers de surendettement ont été déposés à la Banque de France soit une moyenne de 263 750 par an et 1 171 490 dossiers ont été acceptés.
Comment éviter ce scénario ?
Il existe actuellement divers moyens de paiement qui permettent de ne pas dépenser plus que ce que l’on a. Des cartes bancaires accessibles facilement auprès de Neo-banques permettent leur utilisation dans tous les commerces physiques et achats en ligne sans découverts (ni agios par conséquent). On dépense, au maximum, uniquement la somme que l’on a sur son compte. C’est le principe du porte-monnaie virtuel qui autorise son utilisation tant qu’il y a de l’argent sur le compte. Aucun paiement, virement ou prélèvement ne passera si le compte n’est pas approvisionné en conséquence. Il n’y a pas plus simple comme comptabilité.
La carte bancaire de Compte CO2, la solution sécurité
Pour une utilisation encore plus écologique, la carte du Compte CO2, accessible bientôt à l’âge de 12 ans, permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère à chaque opération effectuée avec cette carte bancaire Mastercard.
En effet, cette carte bancaire sécurisée et sans contact est liée à un compte CO2 qui permet, à chaque transaction, de participer (sans frais supplémentaires) à la réduction de gaz à effet de serre (CO2).
Plus techniquement, chaque utilisation de cette carte bancaire, après une conversion de la monnaie en usage dans le pays où l’on se trouve en monnaie CO2 génère des intérêt pour l’organisme qui la gère. Ce sont ces bénéfices qui permettent de financer le système.
De plus, tout possesseur de la carte peut gagner de l’argent grâce aux économies d’énergies qu’il réalise (par exemple: en passant un à véhicule électrique ou en choisissant les transports en commun, en isolant mieux son logement, etc.). Le fruit de ces efforts est comptabilisé et converti en euros sous forme de primes sur le compte associé à la carte bancaire qui permet de payer ses dépenses auprès de n’importe quel magasin ou service.
Alors, pour que nos jeunes ne tombent plus dans le piège des banques, quoi de mieux qu’une carte bancaire sans risque qui aide à protéger le climat de notre bonne vieille terre ?